Agent de sûreté
Vous voulez assurer la sécurité et veiller au bien-être des clients sans pour autant faire le travail de la police ; vous êtes là pour rassurer le public. La sûreté, une question d’échanges et de prévention. Vous avez 4 missions : conseiller, prévenir, protéger, intervenir.
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Le métier en pratique
- Agir sur le terrain pour prévenir les dégradations sur les installations ferroviaires
- Intervenir en soutien des contrôleurs dans les situations de fraudes
- Protéger les marchandises transportées
- Lutter activement contre les vols
- Dissuader les actes de malveillance et d’agression dans les trains et les gares
- Garantir la tranquillité des voyageurs et du personnel
- Représenter un repère essentiel pour les voyageurs (répondre aux questions)
Et si ton avenir passait par le train ?
Explore les métiers, les formations et les opportunités du ferroviaire à travers un quiz
et une carte immersive.
Bon à savoir
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L’environnement de travail
- L’animation des travaux se déroule dans différents lieux en fonction de vos missions
- Vous intervenez sur les quais et à bord des trains.
- Assermenté, armé et en uniforme, l’agent de sureté ferroviaire travaille toujours en équipe. Il assure la sécurité 24h/24h, tous les jours de l’année.
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Compétences et qualités requises
L’année 2025 marque une étape majeure pour le secteur avec des investissements considérables. SNCF Réseau investit 330 millions d’euros rien qu’en Bourgogne-Franche-Comté, dont 52 millions cofinancés avec l’État et la Région, pour moderniser et sécuriser le réseau.
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Conditions pour postuler
L’année 2025 marque une étape majeure pour le secteur avec des investissements considérables. SNCF Réseau investit 330 millions d’euros rien qu’en Bourgogne-Franche-Comté, dont 52 millions cofinancés avec l’État et la Région, pour moderniser et sécuriser le réseau.
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Pour quel(s) entreprise(s) pourrez vous exercer ce métier
L’année 2025 marque une étape majeure pour le secteur avec des investissements considérables. SNCF Réseau investit 330 millions d’euros rien qu’en Bourgogne-Franche-Comté, dont 52 millions cofinancés avec l’État et la Région, pour moderniser et sécuriser le réseau.